Comment créer son propre business en ligne ? On va faire ça tranquillement, en trois étapes.

Bonjour, je m’appelle Stéphane. Et si vous cherchez à créer votre business en ligne de zéro et sans euro, bienvenue sur cette chaîne qui travaille à domicile. Abonnez-vous et cliquez sur cette petite clochette de notification qui vous permettra de ne rien louper.

Sûr ? Là, il faut être sûr, parce qu’en fait, monter son business en ligne, il n’y a pas que des avantages. Il y a aussi des petits inconvénients. Par exemple, vous n'avez plus de patron. Ah si, ça, c’est un inconvénient… Bah, si vous n’êtes pas capable de vous policer, ça devient un véritable… parce qu’il n’y a plus personne pour vous dire : « hey, maintenant tu fais ou sinon c’est pff, dehors ». Donc voilà, alors il faut que vous ayez ce petit contrôle sur vous-même.

Il y a d’autres avantages qu’il va falloir que vous ayez, d’autres qualités que vous développiez, celle de la patience par exemple, patience. Parce qu’en fait, tout arrive au moment où ça doit arriver et pas avant, et pas après. On aimerait bien, en tous les cas, que ça n’arrive pas après.
- Il va falloir aussi que vous soyez particulièrement organisés, mais pas seulement dans vos faits et dans vos gestes, mais aussi dans votre tête. Parce que si là, dès le départ, vous n’êtes pas bien organisé, le reste, ça ne va forcément pas suivre.
- Il faut aussi que vous deveniez un véritable couteau suisse. La première lame, capable d’être un expert dans sa thématique. La deuxième lame, capable d’être un bon vendeur, quoi que vous fassiez sur internet, il va falloir vendre. Et la troisième lame, celle d’être un bon technicien. De temps en temps il faut sortir le tournevis. Si ça tombe en panne, il faut réparer, voilà.

Si avec tout ça, je n’ai pas réussi à vous décourager, parfait, on va tout de suite voir ensemble comment monter votre propre petit business en ligne, quelles sont les bonnes questions à vous poser. On va faire ça en trois étapes.

- Première étape : il va s’agir de faire un petit boulot de tronche.

C’est-à-dire qu’on va trouver une idée. Alors, chercher une idée, trouver une idée, je rappelle que le but du jeu c’est : un, d’abord de prendre son temps, ce n’est pas la peine de se précipiter. Et deux, bien évidemment, de trouver une idée banale. Je répète, il s’agit de trouver une idée banale, parce que si vous commencez à chercher une idée originale, différente, pas pareille, qui n’a jamais été faite, vous ne ferez absolument rien. Rien de rien. Et ce ne sera peut-être pas d’ailleurs un bon signe même si vous la trouvez. 
Donc, encore une fois, trouvez une idée qui a déjà été faite et vous allez mettre en place deux choses qui sont super importantes pour réussir mieux que les autres. Un, vous allez laisser 98 % des gens qui pourraient être vos concurrents derrière en faisant deux trois petites choses importantes quand même. Un, devenir bon dans votre domaine. Deux, savoir collecter des prospects. Trois, savoir vendre, bref, tout l’aspect technique de vente. Parce qu’il y en a tellement qui prennent ça un peu à l’arrache que… ceux-là, vous allez les laisser derrière. Devenez bon et ça va se faire tout seul. 
Et deuxième chose importante, pour réussir sur votre propre petit business, c’est de le faire à votre manière, avec votre propre personnalité. Si vous commencez à faire la même chose que le concurrent, ça va être difficile, il a de l’avance sur vous, il s’y est pris plus tôt, il a sa manière de faire, vous jouez sur cette terre, vous jouez à l’extérieur. Faites les choses selon votre propre personnalité. 

Quelques questions à vous poser quand même : 
Qui d’autres le fait ? Par exemple, regardez sur votre marché, supposons que vous soyez une fille et que sur votre marché il y a que des garçons. Si vous pensez qu’en étant une fille, vous avez la possibilité peut-être de tirer votre épingle du jeu, intéressant. Deux, à quoi ressemble la compétition ? Regardez bien, parce que vous avez peut-être que des gens qui pèsent extrêmement lourds ou peut-être aussi que vous avez des gens qui, comme vous, débutent et qui réussissent à s’en sortir. Troisième question à vous poser, quelles sont les alternatives à votre produit. Par exemple, si vous sortez une formation pour apprendre le calcul mental. Alternative, bah elles existent les calculatrices quand même. Quatre, y a-t-il une quantité de demandes suffisante. Alors là, vous vous servez des moteurs de recherche. Vous allez sur Google, sur YouTube, vous tapez, vous regardez le nombre de résultats qu’il y a, vous allez sur Google trends, il y a toutes les réponses qu’il vous faut. Cinq, quel problème important règle votre produit ? Je rappelle que vous ne vendez pas un produit, vous vendez une solution. Six, y aura-t-il toujours une demande dans cinq ans ? C’est une question que vous devez vous poser. Alors, c’est vrai que ce n’est pas facile de répondre à cette question, mais l’idée, c’est de vous poser la question si oui ou non le produit que vous vendez est un produit modique. Est-ce que finalement, dans cinq ans il aura encore plus de succès ou est-ce qu’il aura complètement disparu ?

- Deuxième étape : on va écrire un business plan.

Business plan ? C’est chiant. Non, un business plan ce n’est pas chiant. Un business plan c’est là pour vous aider à répondre à cette question : comment est ce que je vais gagner de l’argent ? Tu vois, ce n’est pas chiant. En fait, ça vous force à vous poser les bonnes questions, les questions critiques auxquelles vous n’avez pas forcément penser. Et c’est ce qu’on va faire. On va faire en version rapide et facile et… voilà, quelques questions. Donc stylo, papier, allez-y, c’est parti.

Quel est le but de votre business ? 
Un, le mien, c’est ça. Vous voyez que c’est clair, on ne peut plus clair, c’est marqué en gros partout : blog, chaîne YouTube, etc. « créez votre business de formations en ligne rentables ». Et ça va être à vous d’être aussi clair que ça, en sachant exactement ce dont parle votre business. Deux, qu’est-ce que mon produit ou service résout comme problème ? Exemple : là c’est clair, on passe par Messenger turbo pour collecter des prospects qualifiés et des clients et sans dépenser 1 €. Voilà, donc ça, c’est une de mes formations et ça me paraît quand même limpide, non ? Trois, qui sont mes consommateurs ? Alors, quand on commence au début, c’est vrai que ce n’est pas facile de se trouver l’avatar client parfait, mais déjà, vous pouvez commencer à voir un petit peu si vous allez plutôt vers les gamers ou si ce sont plutôt des mères de famille ou si ce sont plutôt des chefs d’entreprise ou des étudiants. Donc, commencez déjà un petit peu à légèrement cibler. Quatre, quel type de marketing vous allez pratiquer ? Est-ce que vous allez vous servir du marketing gratuit ? Est-ce que vous allez servir du marketing payant ? C’est pas tout à fait la même chose, les pubs Facebook, que si vous faites par exemple des vidéos YouTube qui sont tout à fait gratuites. Cinq, quels sont les prix que vous allez pratiquer ? Est ce que vous allez chercher à faire du haut de gamme, auquel cas il vous faudra peu de clients, ou est ce qu’au contraire vous allez chercher à faire des produits qui soient à des prix beaucoup plus abordables et donc, être beaucoup plus populaires sur vos produits ? Six, quels sont les projections financières que vous pourriez faire sur cinq ou six ans. Alors, là encore, c’est une question, c’est vrai, très difficile, mais selon les secteurs d’activités que vous aurez choisis, vous réussirez quand même un petit peu à défricher le minimum.

- Troisième étape, quelle structure adopter ?

Alors, selon que vous vous mettiez, je ne sais pas, en association, que vous montiez une start-up, selon que vous mettiez en micro entrepreneur, ce ne sera pas la même chose, mais j’ai envie de vous dire que le plus important n’est même pas là. Le plus important, c’est que vous créiez une culture entrepreneurs. Qu’est-ce que c’est que ça ? 
Il va falloir dégrossir, seulement dégrossir les choses de l’entreprise. Par exemple : qu’est-ce qu’une facture, la TVA, un conseiller juridique, l’impôt sur le revenu, un expert-comptable, dividende, amortissement, vos droits, un bénéfice, une personne morale… Bref, on ne vous demande pas de savoir calculer un amortissement linéaire, un amortissement dégressif, non, juste d’avoir quelques notions qui vous permettent un petit peu de comprendre la différence entre un salaire, un dividende et un bénéfice. 
Deux, après la culture des choses de l’entreprise, la culture des choses de l’entrepreneur. Ça veut dire qu’il y a quelques qualités que vous allez devoir travailler : être humble, devenir marathonien, savoir s’adapter, ne pas croire à la magie, trouver le sommeil. Vous allez voir que ce n’est pas simple. Quelquefois, il y a du stress, du stress positif. On est surexcité et puis on ne dort plus. Gaffe au burnout !

- Quatre, allez, je vous rajoute une petite quatrième étape : c’est bien sûr le financement et les outils qui ne seront pas du tout les mêmes, selon que vous fassiez du service, selon que vous vendiez des produits numériques, des produits physiques, selon si vous avez envie de monter une start-up carrément, évidemment, ce ne sont pas les mêmes outils. Et ne venez pas me dire que ça coûte cher parce que j’en vois « ouh la la, ça commence à faire un peu beaucoup d’outils à acheter pour monter mon business sur internet ». Hey, allez monter un magasin en ville, vous me direz un petit peu combien ça coûte. Il y a une petite différence. Allez, là, un moment, il faut retomber sur terre quand même.

Alors, évidemment, l’un des business les plus faciles à créer : c’est celui des formations en ligne, c’est ce que je vous propose de faire tout de suite. Il vous suffit de cliquer là : formation offerte, eh bah, pour créer votre formation en ligne rentable. Bon, allez, j’espère vous avoir un petit peu aiguillé dans cette botte de foin, je vous dis à bientôt en vidéo.