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Emailing Marketing : 10 bonnes pratiques campagne emailing

Aujourd’hui, je propose 10 bonnes pratiques pour vos campagnes d’emailing.
Bonjour, je m’appelle Stéphane. Et si vous cherchez à créer votre business en ligne de zéro et sans euros, bienvenue sur cette chaîne. Abonnez-vous ici et puis cliquez sur la clochette de notification, parce que ça, c’est pour ne rien louper.

Réussir sa campagne d’emailing, ce n’est pas chose facile. Et on a deux possibilités, soit on s’appuie sur nos propres données, nos propres data, nos propres statistiques qu’on a accumulées depuis des années et auquel cas on a des certitudes.
Si ce n’est pas le cas, on n’a plus qu’à s’appuyer sur l’expérience des autres ou éventuellement les stats, les études qui ont été faites. Et ce que je vous propose tout de suite, c’est les 10 bonnes pratiques qui vont vous aider à trouver quelques clés pour réussir votre campagne d’emailing.

  • Première bonne pratique : ajouter des pourcentages de réduction. Moins 20%, moins 30, moins 50% comme vous voulez. Mais c’est vrai qu’on a tendance à croire que le fait d’ajouter ce genre de chose, notamment dans les sujets de nos emails, ça provoque plus d’ouvertures. Ce n’est pas faux. Mais c’est mieux de l’associer à une proposition unique, trouver une petite originalité, un petit quelque chose en plus que simplement s’appuyer sur ce chiffre, sinon, ce serait trop facile. Tout pareil pour le mot gratuit. Alors attention avec ce mot gratuit dans vos objets. Parce que ça, pour les spams, ce n’est pas terrible. Les fournisseurs d'accès internet n’aiment pas trop ce genre de mot-là. Donc faites attention. Mais là encore, essayez de tourner les choses autrement. Essayez de trouver un axe qui soit un petit peu plus intéressant et de toute façon, dites-vous bien, même si vous n’avez pas ces mots-là en particulier, que ce soit dans vos objets ou même dans le corps de votre message à partir du moment où votre audience est engagée, où vos contacts savent qui vous êtes et savent ce que vous avez à proposer, eh bien, d’une manière générale, ils ouvriront et ils cliqueront sur vos emails. 
  • Deuxième bonne pratique : il faut envoyer le bon email bien-sûr, mais au bon moment. Alors le bon moment, qu’est-ce que ça veut dire ? C’est super relatif. Ça dépend de plein de choses. Le bon moment pour quelqu’un qui commence de 0 et qui part vraiment de 0, eh bien, c’est 9h du matin, voilà. Tentez à 9h du matin, vous ne prendrez pas trop de risque. Le bon moment pour quelqu’un qui veut tenter de savoir quel est le bon moment, c’est peut-être d’envoyer un petit peu plus tôt dans la journée et puis de regarder après les stats et puis de voir à quelle heure les personnes vont être le plus réceptives.
    Maintenant, ça dépend aussi de vos sous-listes. Vous devriez avoir segmenté vos listes, pas une grosse liste générale. Donc chaque segment va répondre de manière un petit peu différente et puis de toute façon, encore une fois, cette histoire d’heure parfaite à laquelle on devra envoyer notre email n’est assujettie qu’au fait que la personne qui a tendance à ouvrir vos mails ne soit pas très engagée vis-à-vis de votre contenu. Plus la personne est engagée vis-à-vis de votre contenu, plus elle pourra l’ouvrir à une heure qui n’est pas exacte et parfaite pour elle. Elle pourra très bien l’ouvrir 24 heures, 48 heures, jusqu’à 72 heures après, mais les stats le prouvent, quelquefois, trois jours après, les personnes ouvrent un des emails que je leur ai envoyés. Donc oui, il faut s’attarder et se pencher sur l’heure exacte, mais ne pas non plus en faire une religion.
  • Troisième bonne pratique : essayer d’atterrir dans ce petit onglet. Vous savez, quand vous êtes sur Gmail ou Principal eh oui, c’est mieux effectivement d’atterrir dans cet onglet que celui de promotion ou… voilà, bien évidemment. Donc ça, c’est un objectif à essayer d’atteindre. Cela dit comment est-ce que ça s’atteint, en évitant tous ces mots qui risquent de vous diriger vers les spams. Comme je vous disais tout à l’heure, le mot gratuit… Tous ces mots-là, ça ne va pas vous aider, ça c’est sûr.
    Maintenant, comment y atterrir ? Alors il y a différentes bonnes pratiques. L’une d’elles par exemple, c’est sur le tout premier email que vous allez envoyer, l’email de bienvenue. Ce tout premier email, essayez de faire en sorte qu’il n’y ait peut-être pas trop d’images, peut-être pas trop de mots comme ceux-ci qui peuvent vous envoyer directement en spam. Etre assez court peut-être, pas trop de liens différents, voilà, pour faire en sorte que ce premier email arrive au bon endroit. Maintenant, vous pouvez aussi demander tout simplement à votre contact eh bien qu’il vous fasse un glisser-déposer de cet email qu’il vient juste de recevoir dans hop, primary, voilà, dans ce petit onglet qui s’appelle principal. Et du coup, par la suite, eh bien, tous les emails venant de vous arriveront directement dans principal. Donc ça, effectivement, c’est un endroit sur lequel vous devez porter attention.
  • Quatrième bonne pratique : le taux de délivrabilité, mais pas que. Ce n’est pas parce que vous avez un super taux de délivrabilité que certains de vos messages n’arrivent pas en spam. Donc, déjà, à l’entrée de jeu, si vous avez 100 contacts, il n’y en a peut-être que 99 qui vont le recevoir. Donc il y en a un, voilà 99% de taux de délivrabilité, mais encore une fois, il y en a peut-être quelques-uns qui vont finir en spam. Donc du coup, possibilité de lire, je ne sais pas peut-être 98, 97, 90% seulement et en plus, après derrière, il y a le taux d’ouverture, puis après, il y a le taux de clics. Donc vous voyez que c’est un véritable entonnoir face auquel vous êtes. Alors, comment faire en sorte d’éviter tout ça. Bien sûr, il y a toutes les bonnes pratiques à mettre en place pour ce qui est du taux de délivrabilité et puis, il y a surtout envoyer le bon message à la bonne personne et au bon moment, ça, ça va vous aider.
  • Cinquième bonne pratique : rester ouvert dans son état d’esprit vis-à-vis de l’email marketing, parce que ça marche toujours aussi bien, parce que ça touche toujours autant les gens et pas seulement dans certains secteurs. Là, c’est vrai qu’il y a des secteurs dans lesquels c’est carrément une obligation, une loi que de l’avoir à sa disposition. Tout ce qui est, je ne sais pas, les voyages, les industries, etc. Enfin bref, il y a plein. Et cela dit, ça s’adapte à toutes les activités, c’est absolument adaptable à toutes les activités. Et c’est un véritable plus que d’avoir ça, j’allais dire comme actif dans votre manche. Donc, oui, l’email marketing, ça fonctionne, encore faut-il y mettre les bonnes pratiques pour le rendre efficace. Et c’est le meilleur moyen de pouvoir toucher d’abord les gens de manière régulière et puis de pouvoir installer ce qui est finalement le plus important pour vous, pour vendre votre offre, à savoir : la confiance.
  • Sixième bonne pratique, c’est le CTA, l’appel à l’action. C’est super important. Un endroit où la personne doit cliquer pour suivre la filière que vous avez proposée. Alors effectivement, le CTA, ça peut poser quelques problèmes. Bon, c’est vrai que vous pouvez tester par exemple la couleur, voilà, la couleur d’un bouton, ok, ça se teste. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus important, mais bon, ça se teste. Il y a aussi un autre test que vous pouvez faire, c’est savoir où placer votre CTA. Ça peut être, finalement, en tout début de message, au milieu ou à la fin. Et ça, on ne peut pas savoir avant d’avoir vu sur tel ou tel segment de liste, comment est-ce que ça répond le mieux. Et puis, outre la couleur et l’endroit, il y a quelque chose aussi qui est important, c’est le type de CTA que vous allez mettre, parce que ce n’est pas la même chose. Il y en a qui préfèrent cliquer sur un bouton, il y en a qui préfèrent cliquer sur une image, il y en a qui préfèrent cliquer sur un lien hypertexte. Donc voilà, toutes ces choses-là, ça va être à vous d’essayer de voir un petit peu ce à quoi réagit le plus votre liste.
  • Septième bonne pratique. Parlons-en justement de ces boutons, ils ne sont pas obligatoires. Peut-être que juste un petit lien hypertexte en plein milieu de votre message fera largement l’affaire. Et peut-être aussi que plutôt que de remplir votre email d’infos, peut-être que ce lien qui dirigerait vers, je ne sais pas un article de blog par exemple, sera plus efficace, parce que votre article de blog, lui, donnera tout le reste des infos que la personne n’aura peut-être pas envie de lire forcément sur son email. Donc, ça va être à vous de tester quel type de lien il faut, quel type d’engagement vous allez chercher exclusivement dans l’email ou est-ce que vous allez juste teaser dans l’email pour amener vers votre offre ? Ça peut être aussi une page de vente, pourquoi pas ? Dans tous les cas, oui, il faut vraiment essayer d’aller au plus loin possible dans vos données, vos datas, les analytics que vous allez pouvoir réunir pour savoir ce qui est efficace pour vous.
  • Huitième bonne pratique : le langage que vous allez utiliser dans votre email. Effectivement, ça ne sera pas du tout le même selon les personnes auxquelles vous allez vous adresser, selon encore une fois les segments de votre liste et selon, j’allais dire l’avancement sur le chemin de l’acheteur, où est-ce qu’il en est. Effectivement, si c’est quelqu’un qui est tout à fait débutant, vous allez utiliser des mots beaucoup plus simples qui ressemblent à son propre vocabulaire. Alors que si vous êtes face à un prospect qui est un petit peu plus chaud, qui connait un petit peu plus l’activité dans laquelle vous êtes et qui vous suit de manière un petit peu plus technique, là oui, vous allez vous permettre d’aller sur un vocabulaire un petit peu plus technique. Et quelque part, il faut absolument s’adapter à ce type de copywriting. Pour ça, il faut bien connaître sa liste déjà d’une part et ses segments de liste.
  • Neuvième bonne pratique, il s’agit du sujet de votre email. Alors, là encore, ça se teste. Vous pouvez faire des A/B testing pour savoir quel type de sujet raisonne le mieux avec votre audience. Bon, mais cela dit, parfois, on a de grosses surprises. J’ai eu d’énormes taux d’ouvertures sur un sujet à deux mots. Quand on se casse la tête à essayer de trouver un sujet... on peut être surpris ! Donc, il faut que vous travailliez vos sujets, voir ce qui marche le mieux avec votre audience, avec des formules de sujets toutes faites qui existent. Vous pouvez vous en servir, effectivement, si vous avez du mal à trouver, quelquefois teaser dans votre sujet ce qui va se passer dans l’email, mais quelquefois pas. Parfois, ça va plutôt être un résumé. Et dès le début de votre email par contre, commencez à teaser pour que la suite vienne petit à petit se dérouler devant les yeux du lecteur tout au long du corps de message de votre broadcast.
  • Dixième bonne pratique : oui, il va falloir apprendre à se séparer de tous ces contacts qui trainent dans votre liste et qui n’ouvrent jamais, qui ne s’engagent jamais sur votre contenu. Parce que ça risque de vous couter un petit peu plus cher, c’est vrai, selon les logiciels qui vous facturent au nombre de contacts, parce que, surtout, ça risque de gêner votre délivrabilité et ça, ce n’est pas bon pour vous. Non, non, non. Et puis, ça ne vous sert à rien d’avoir tous ces curieux. Alors, soit vous pratiquez la méthode radicale, mais ce n’est pas forcément ce que je vous recommande, c'est-à-dire : lui, il n’a pas ouvert depuis six mois, allez hop, dehors, liste hygiène. C’est une possibilité. Mais le mieux quand même c’est de chercher à les réengager et pour ça, vous leur envoyez un petit mail avec un cadeau par exemple dans le sujet de votre email, voilà. Et si la personne, vous voyez que, vraiment, elle n’ouvre même pas, allez hop dehors. Là oui, d’accord.

Bon, cela dit, si vous voulez allez un petit peu plus loin sur cet email marketing d’une manière générale, ce que je vous propose c’est une heure de formation offerte : « Emailing turbo de zéro à pro », vous cliquez là.
J’espère vous avoir un petit peu aiguillé dans cette botte de foin.
A bientôt en vidéo !

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