Comment vaincre la peur de l'échec et oser entreprendre ? Cinq peurs, cinq solutions.

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Il va falloir être honnête dans cette vidéo, être capable de se parler cash avec sa petite voix intérieure. Relaxe, mais si vous n'êtes pas capable, pars loin. Ça ne sert à rien. Dans cette vidéo, il va falloir vraiment réussir à regarder son ennemi dans le blanc des yeux. Comment le vaincre sinon ? Bien sûr, autant jeter un boxeur sur le ring avec les yeux bandés, ça peut être possible.

Dans cette vidéo, exercice de vérité sur deux points essentiels : le premier ça va être de détecter vos peurs et le deuxième de détecter les excuses. Parce que souvent c'est deux là marchent de pair. Quand on a peur, on a tendance à se donner des excuses pour éviter l'obstacle. Donc cinq types de peurs qu'on va énumérer ensemble et on va essayer de trouver des solutions évidentes pour les vaincre et pouvoir, au bout du compte, osez entreprendre.

- “Ça, c’est déjà fait. Il y a trop de concurrence“. 
Quand on entend ce genre d'excuse, on en conclut très vite que vous ne vous sentez pas prêt. Alors je rassure tout de suite, c'est un grand classique, on se dit tous ça, pas de culpabilisation, c'est absolument normal. 
En revanche, ma question est la suivante : Qu'est-ce que vous attendez pour être prêt, parce que si vous attendez le code à six chiffres de la caverne d'Ali Baba, ça n'est jamais arrivé, il n'y a pas de moment parfait, pas de coup de chance extraordinaire, pas de choses qui vont vous tomber dessus pour que d’un seul coup vous disiez, ah, ça y est, je suis prêt. 

Albert Einstein a dit : “Un problème sans solution est un problème mal posé".
Donc l'idée, ça va être de poser le problème différemment et votre seule solution c'est tout simplement de passer à l'action.

Alors qu'est-ce qu'on fait pour ça, pour vaincre la peur de l'échec :
Premièrement, il va falloir que vous écriviez, c'est très bien d'écrire, parce que ça permet d'abord de fixer sur papier des choses solides et aussi de matérialiser un peu vos pensées.

Deuxièmement, faites des petits dessins. C'est simple, pareil, vous posez tout noir sur blanc.

Troisièmement, important, faites aussi un plan avec des étapes. 1ère, 2ème, 3ème, parce que là encore c'est du concret, des engagements que vous allez mettre en place vis-à-vis de vous-même que personne n'enlèvera. Mais surtout, évitez l'erreur de regarder déjà la quatrième, la cinquième et la sixième étape.

Votre objectif, c'est d'être d'abord sur la première étape et de ne regarder qu'elle. Puis seulement que la deuxième ensuite. C'est en franchissant ces étapes, tranquillement marche après marche que, même si vous ne vous sentez pas prêt, vous allez avancer.

- “J'ai peur du changement“. 

Je vous rassure tout de suite, la peur du changement, c'est un truc absolument naturel et normal. Selon la pyramide de Maslow, c'est même carrément en deuxième position, c'est le besoin de sécurité et ça vient juste après celui de boire, manger, dormir, respirer. On a tous besoin de sécurité et on a tendance à cause de cette peur là, à projeter des anxiétés, des choses négatives. Cela dit, du changement on en a toujours dans notre vie ! Tout le temps. Regardez votre passé. Une rupture sentimentale, viré, boulot, etc., vous allez en trouver plein. 

Alors tant qu'à faire, puisqu'on sait qu’il va y avoir des tas de changements pour chacun d'entre nous, prenons les devants si ce n'est que pour les maîtriser au moins pour essayer de les apprivoiser et pourquoi pas aller jusqu'à vivre de sa passion si c'est ce que vous avez en tête.

Albert Einstein a dit : “Les changements extérieurs commencent toujours par un changement intérieur d'attitude".

En fait la solution, c'est tout simplement de travailler son optimisme parce que si vous projetez de l'anxiété, de la peur, vous allez être paralysé. Vous ne bougez plus, ne faites plus rien. Il faut au contraire avoir un maximum d'optimisme, donc d'idées positives qui vont étouffer vos peurs et générer autour de vous un flot de bonheur.

- “J'ai peur de l'échec“.

Celle-là est classique aussi. Elle est souvent due à deux sentiments : la fierté et l'orgueil. On est pile dans les sept péchés capitaux. L'orgueil, c'est carrément le pire des sept péchés capitaux. Si vous regardez bien, la peur de l'échec est souvent beaucoup plus ancrée dans le fait qu'on a peur de se lancer en public que celle de réellement perdre quelque chose. 
C'est notre personne qu'on doit exposer, c'est bien ce qui nous fait peur. Ceux qui ont réussi à la vaincre, à passer au dessus de cette crainte, sont toujours allés beaucoup plus loin que ceux qui sont restés paralysés sur la ligne de départ, sans oser avancer.

Robert Kiyosaki a dit : "Les gens qui évitent les échecs évitent aussi les succès". 
Ce qu'il essaye de vous dire, c'est que pour arriver à un succès de toute façon, comme tout le monde, il faudra que vous ayez votre dose d'échecs. Et c'est tant mieux, parce qu'ils seront autant d'expériences cumulées. Donc je vous souhaite beaucoup d'échecs pour aller très vite à la réussite. La solution est très simple. Essayer de comprendre que les échecs sont ni plus ni moins que des blessures d’ego. C'est juste la manière dont on se voit. Et ça nous vexe. Mais ce n’est pas grave si c'est pour, au bout du compte, atteindre la réussite.

- “J'ai peur de faire un mauvais choix“.
Il n'y a pas de mauvais choix, mais non, ça n'existe pas. C'est seulement des réajustements de parcours que vous allez devoir faire. Un entrepreneur ose, se fait chahuter, sans cesse, et poursuit sa route sûr de lui. Imaginez vous un peu comme un pilote de rallye sans copilote juste à côté. Personne pour lui dire "attention, un virage un petit peu serré là". Trop tard. Petit dérapage, le nez dans le talus. Tout ça vous allez devoir l'affronter, mais finalement vous arriverez toujours à franchir la ligne d'arrivée.

Oser entreprendre, vous allez me dire comment est-ce qu'on fait pour avoir cette mentalité de gagnant ? 
C'est facile en fait, il faut juste passer à l'action, avancer avec détermination quoi qu'il arrive.

D'ailleurs Amélie Nothomb a dit : “Le seul mauvais choix est l'absence de choix“.
La solution est toute simple. Ne pensez jamais en termes de problèmes. Focalisez sur les solutions.

- "Je n'ai pas assez de connaissance".

C'est ce qu'on appelle le syndrome de l'imposteur. Je vous rassure, beaucoup de gens en sont atteints. J’ai moi-même été touché, c'est le genre de truc qu'on se met dans la tête, on ne se sent pas légitime à faire quelque chose. On doute, on commence à retourner tout ça dans le cerveau, jusqu'au point où on se dit que c’est le moment si on veut se lancer. Et que le mieux serait d'être carrément perfectionniste.

Alors là, surtout pas, on s'enfonce encore plus. Quand on est entrepreneur, ce n'est absolument pas une solution, c'est même carrément un défaut. Donc on est sur un mauvais chemin. Richard Branson a dit : " Le meilleur moyen d'apprendre quelque chose est en le faisant". Bien sûr, vous pouvez demander de l'aide, trouver des mentors, chercher des coaches, des ressources. Tiens, si par exemple vous êtes capable de sauter un mètre à la perche. Dites vous bien que vous êtes champion par rapport à celui qui n’a jamais tenu une perche dans la main. Donc vous avez un pas d’avance, vous avez des compétences supplémentaires par rapport à cette personne.

Et si vous vous dites " moi aussi j'aimerais bien faire des formations en ligne". Peut être que la première chose pour vous sentir plus légitime, ce serait d'apprendre comment est ce qu'on peut faire des formations en ligne, histoire de démystifier un petit peu le truc. Précisément formation offerte pour apprendre à faire votre formation rentable. J'espère, vous avoir un peu aiguillé dans cette botte de foin, je vous dis à bientôt en vidéo.